Corso Vittorio Emanuele II, 39 - Roma 0669207671

Uninettuno signe l''accord pour donne vie all ''"Accademie des civilisations"

24/10/2016

<< Retour aux communiqués de presse

Autres documents liés aux Communiqué de Presse

                               

 


SIGNE L’ACCORD POUR DONNE VIE A L’ ”ACCADEMIE DES CIVILISATIONS”
Un réseau entre universités traditionnelles et à distance de tout le monde pour créer une plateforme commune véhiculant des nouvelles stratégies didactiques et culturelles  

L’université ne peut plus continuer à être autoréférentielle, mais elle doit devenir un lieu réel et virtuel capable de réunir les expériences des différentes cultures du monde : ceci à été l’esprit avec lequel a été signé l’accord de coopération sur “Langages Comparés pour une Nouvelle Communication : Vers l’Académie des Civilisations”. Les institutions impliquées sont : l’Université Télématique Internationale UNINETTUNO, l’Université Pontificale Antonianum, l’ ICDE (International Council for Open and Distance Education) et l’ EADTU (European Association of Distance Teaching Universities).
La signature du Mémorandum d’Entente a eu lieu au cours de la Conférence Internationale EADTU 2016, organisée avec l’ Université UNINETTUNO à l’occasion de son 10ème Anniversaire et qui s’est tenue à Rome, à l’Auditorium Antonianum, ainsi à la présence de nombreux recteurs des universités du Monde Arabe incluant Mansoor Al Awar, de la Hamdan Bin Mohammed Smart University de Dubaï.
A ouvrir les travaux a été le Ministre Italien de l’Education, Université et Recherche, Stefania Giannini: “Le rôle des universités – elle a affirmé – n’est pas celui d’une simple création et transmission de connaissance. L’université possède celle que j’appelle une « troisième mission » c’est-à-dire être ouverte aux demandes et aux besoins de la société. L’éducation à distance – elle a adjoint – est une des principales opportunités dont nous disposons et devrait représenter un nouveau et stimulant cadre de référence pour le partage de la connaissance et des expériences en sorte que l’éducation soit sans frontières ».
D’ ici a origine l’idée de créer l’Académie des Civilisations, comme explique le recteur d’ UNINETTUNO, Maria Amata Garito: “Il s’agit d’un instrument qui aidera à mener des recherches sur les langages de l’art pour construire un modèle d’interaction et d’amitié avec mondes ayants de cultures différentes. Depuis toujours – elle continue – les langages de l’art ont été toujours utilisés par les gens pour ouvrir leurs âmes et exprimer leurs sentiments. Pour cette raison, que crois que cet accord soit fondamental pour faire en sorte que les universités soient en mesure d’offrir aux jeunes générations les instruments culturels pour connaitre, interpréter et agir consciemment dans un monde de plus en plus interdépendant dans lequel les choix de chacun ont un impact au niveau global et dans lequel il est important de renforcer la responsabilité sociale et le respect des différences culturelles, religieuses et politiques, aidant à se comprendre et à surmonter les conflits et les difficultés pour construire ensemble un futur de paix”.
Un des promoteurs et signataires de l’entente est l’Université Pontificale Antonianum: “L’accord avec UNINETTUNO et avec les autres universités à distance - a affirmé le recteur, Mary Melone – nous permet d’utiliser des plateformes informatiques qui sont pour nous une offre de formation qui est véritablement sans frontières. Il est important, vu le caractère de l’ université pontificale, élargir la vision et entamer un dialogue avec le monde et, donc, avec la sensibilité, les attentes, les potentiels que le monde de la culture, et dans ce cas de la culture d’haut niveau comme celle universitaire, peut présenter au niveau global”.
A la clôture, le Ministre Général de l’Ordre des Frères Mineurs et Grand Chancelier de l’Université  Antonianum, F. Michael Perry, a mis l’accent sur le concept d’ « écologie culturelle », employé ainsi par Pape François dans son encyclique « Laudato Si », car, a-t-il expliqué : «  Il faut assurer un juste équilibre entre les « forces universalisantes » et ce que les anthropologues définissent « savoir local ». Par conséquent, il ne suffit pas que « Le savoir soit seulement dans les mains des privilégiés, mais qu’il soit étendu à des secteurs toujours plus amples », mais il faut également avoir respect des cultures locales.